Beaux MecsLes Warwick Rowers sont de retour pour un calendrier 2018 très (dé)culotté

Par Jérémy Patinier le 12/10/2017
Les Warwick Rowers sont de retour pour un calendrier 2018 très (dé)culotté

Comme les premiers shorts de l'année ou les premières décorations de fêtes de fin d'année, à chaque saison ses gourmandises, ses petits plaisirs. Le calendrier qui suit arrive vers septembre/octobre, avec des quintaux de jolis hommes qui ne craignent pas les premiers frimas et nous donnent nos premiers frissons d'automne...

Les Warwick Rowers sont de retour pour un calendrier 2018 très (dé)culotté
 
Les Warwick Rowers sont de retour pour un calendrier 2018 très (dé)culotté
Les Warwick Rowers sont de retour pour un calendrier 2018 très (dé)culotté
On vous présente les étudiants de l’université anglaise de Warwick, située dans les Midlands de l’Ouest, à environ 150 kilomètres de Londres. C’est, avec Oxford et Cambridge, l’une des universités britanniques les plus prestigieuses et l’une des plus prolifiques en matière de recherche. Mais l’université de Warwick se distingue également par une autre spécialité : l’aviron. En effet, l’institution accueille en son sein le Warwick Boat Club, l’un des clubs de rameurs universitaires les plus réputés du pays.
Depuis 2009, ces mêmes rameurs éditent un calendrier qui n’a de cesse de faire parler de lui : Warwick Rowers. Il permet de financer l’activité du club car l’aviron est un sport qui coûte cher. Entre achat, entretien du matériel et coût des déplacements lors des compétitions, les rameurs n’ont eut d’autres choix que de donner de leur personne. Une fois cette première mission accomplie et les coûts de production du calendrier amortis, le reste des bénéfices est reversé à des associations caritatives, dont Sport Allies, qui lutte contre les discriminations.
Par leurs actions, Sport Allies et les Warwick Rowers œuvrent ainsi toutes deux à l’inclusion des personnes exclues du milieu sportif en raison de leur identité de genre et/ou de leur orientation sexuelle, et à la lutte contre l’homophobie.
La cuvée 2018 fait le job, on vous laisse juges...

 


 


On aimait bien celui de 2016, déjà...

Celui de 2013 était également assez "qualitatif"...

Celui de 2012, vraiment émouvant...

Mais notre préféré (pour sa dramaturgie, sa trame narrative, ses pagaies...) était sans conteste celui de 2017, à retrouver ici :

 
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