jeuTÊTU vous offre des places pour le concert « LES FUNAMBULES » contre l’homophobie

Par Jérémy Patinier le 06/06/2017
stéphane corbin,funambules

Stéphane Corbin a entraîné des centaines d’artistes à marcher avec lui au-dessus du vide laissé par la Manif pour tous en chantant l’amour sous toutes ses formes. TÊTU vous offre 10 x 2 invitations pour un concert exceptionnel !

LES FUNAMBULES donneront un grand concert caritatif, à l'Alhambra, le lundi 12 juin prochain avec une cinquantaine d'entre eux sur scène, en présence de ses soutiens les plus connus (Eva Darlan, Virginie Lemoine, Alexis Michalik...). Tous les bénéfices de ce concert seront renversés à SOS Homophobie (toutes les actions des funambules sont reversés à des associations de lutte contre l'homophobie).

Qui sont les funambules ?

Une campagne de crowfunding, beaucoup d’économies perso et quarante-deux titres plus tard, c’est près de 400 personnes qui se sont investies dans ce projet fou.
La chanson qui fait naître le projet s’appelle « L’Aveu » et est signée par son frère. Son père écrira la suivante : « Alan » sur Turing, mathématicien brillant et broyé par l’homophobie d’État au sortir de la Seconde guerre mondiale; les experts s’accordent à dire qu’il a raccourci le conflit en inventant l’ancêtre de l’ordinateur pour déchiffrer les codes allemands.
Des connus, et des moins connus. Des Virginie Lemoine et des Miou-Miou, devenues marraines des Funambules, mais aussi Valentine, la fille d’une amie qui, du haut de sa dizaine d’années, interprète à merveille « Just Like Always » et défend bec et ongles le projet sur les réseaux sociaux qui l’ont vu grandir. Amanda Lear qui prête sa voix à « La rumeur », titre délicat et ironique sur elle et les soupçons de transidentité qui ont rythmé sa vie. Le comédien Christian Erickson qui raconte les amours secrets et clandestins du siècle précédent dans « The Dark Waltz » tandis que Julian, adolescent, conte ce que c’est qu’être gay à « Quinze ans ». Dave chantant ses « Chers amis et chers amants » qui habitaient le San Francisco des années 80 soufflé par l’épidémie du sida dans le titrel « Sous quel arc-en-ciel » écrit par son compagnon Patrick Loiseau.


Stéphane Corbin a aussi voulu donner une place importante à l’homosexualité féminine (« Mon Jacques à Moi », « Rosalie(s) », « J’ai rien demandé », etc.) qu’il sait plus sujette encore à l’invisibilisation, ainsi qu’au quotidien de celles avec qui il partage un destin croisé : les filles à pédés.
 
Participez au jeu :
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