« Mon meilleur pote Arthur m'a raconté qu'un de ses plans cul lui a fait ressentir un orgasme carrément énorme. Il aurait réussi à toucher une sorte de point G rien qu'avec le doigt ! Quel est son secret ? » Lucas, 21 ans, Strasbourg.
La réponse du Dr Pierre Cahen, sexologue et médecin au Checkpoint (Paris 4e).
Le point G masculin n'est pas une légende, même s'il est très différent de celui des femmes. Quiconque le découvre et l'actionne peut ressentir un plaisir décrit comme intense et irradiant. Voici les trois étapes pour y parvenir.
1- ACCEPTER L'IDÉE
Stimuler son point G, ou celui de son partenaire, nécessite au préalable d'accepter l'idée du plaisir anal. La pénétration est taboue chez beaucoup de garçons hétéros, et même homos, car elle est associée à un manque de virilité ou à la soumission. Pourtant la prostate, glande de la taille d'une châtaigne riche en terminaisons nerveuses, créé une zone particulièrement sensible en appuyant sur la paroi rectale. Au Japon, de nombreux livres existent sur le sujet...
2- TROUVER LA ZONE "MAGIQUE"
Atteindre le point G n'est pas trop compliqué. Le chemin se parcourt avec le doigt, ou avec un objet appelé "stimulateur prostatique" dont la forme bizarre est étudiée pour faciliter un appui ciblé. Le point G est situé à 5 ou 6 cm de profondeur, sur la face antérieure du rectum, c'est-à-dire du côté du ventre (et pas du dos). Un conseil important à destination de Lucas, Arthur et tous les garçons : l'exploration doit être progressive, en utilisant un gel lubrifiant si nécessaire, et se faire dans une position confortable.
3- AVOIR LA BONNE TECHNIQUE
Le plaisir s'obtient en alternant pressions et relâchements au niveau de la zone prostatique, ou encore par un massage circulaire. Ces gestes s'inspirent directement du fonctionnement du système nerveux du corps humain. Pour favoriser la jouissance, l'astuce consiste à contracter simultanément les muscles de la racine de la verge. Certains garçons restent excités au-delà du premier orgasme et quelques-uns parviennent même, cerise sur le gâteau, à en ressentir un second !
La réponse du Dr Pierre Cahen, sexologue et médecin au Checkpoint (Paris 4e).
Le point G masculin n'est pas une légende, même s'il est très différent de celui des femmes. Quiconque le découvre et l'actionne peut ressentir un plaisir décrit comme intense et irradiant. Voici les trois étapes pour y parvenir.
1- ACCEPTER L'IDÉE
Stimuler son point G, ou celui de son partenaire, nécessite au préalable d'accepter l'idée du plaisir anal. La pénétration est taboue chez beaucoup de garçons hétéros, et même homos, car elle est associée à un manque de virilité ou à la soumission. Pourtant la prostate, glande de la taille d'une châtaigne riche en terminaisons nerveuses, créé une zone particulièrement sensible en appuyant sur la paroi rectale. Au Japon, de nombreux livres existent sur le sujet...
2- TROUVER LA ZONE "MAGIQUE"
Atteindre le point G n'est pas trop compliqué. Le chemin se parcourt avec le doigt, ou avec un objet appelé "stimulateur prostatique" dont la forme bizarre est étudiée pour faciliter un appui ciblé. Le point G est situé à 5 ou 6 cm de profondeur, sur la face antérieure du rectum, c'est-à-dire du côté du ventre (et pas du dos). Un conseil important à destination de Lucas, Arthur et tous les garçons : l'exploration doit être progressive, en utilisant un gel lubrifiant si nécessaire, et se faire dans une position confortable.
3- AVOIR LA BONNE TECHNIQUE
Le plaisir s'obtient en alternant pressions et relâchements au niveau de la zone prostatique, ou encore par un massage circulaire. Ces gestes s'inspirent directement du fonctionnement du système nerveux du corps humain. Pour favoriser la jouissance, l'astuce consiste à contracter simultanément les muscles de la racine de la verge. Certains garçons restent excités au-delà du premier orgasme et quelques-uns parviennent même, cerise sur le gâteau, à en ressentir un second !