Trop intimidé, trop épuisé, trop en surchauffe... Tout le monde a été un jour victime d'une panne d'érection. Mais puisque l'excitation est encore là, pourquoi ne pas continuer quand même à prendre du plaisir et à en donner ? Voici quelques conseils pour sauver son "honneur de mâle".
En début ou en milieu de rapport sexuel, les manques de "rigidité" sont majoritairement dus à l'anxiété. « Les maladies, les médicaments, la dépression peuvent intervenir aussi et le médecin est toujours disponible pour en parler, rappelle le Dr Pierre Cahen, sexologue. Mais il suffit, en général, de savoir comment réagir pour régler le problème. » Nous vous y aidons.
3 attitudes à éviter au moment de débander
- Trop parler
Pour ne pas mettre en péril sa réputation de bon amant, le garçon "en panne" a tendance à vouloir se justifier dans un flot de paroles ininterrompu : "C'est la première fois que ça m'arrive, demande à mon ex si tu veux !", "J'ai pensé à ma grand-mère malade et ça m'a déconcentré", "C'est bizarre, d'habitude je peux tenir 4 heures !", etc. Mauvaise idée.
- Faire des reproches à l'autre
Atteints dans leur ego, certains garçons adressent des critiques cinglantes à leur partenaire. Ils lui reprochent d'être trop lent, "pas si beau, finalement", d'avoir un parfum incommodant ou encore un lit trop mou ! Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans sa bouche (ou dans celle de l'autre) avant de s'engager sur ce terrain...
- Fuir sans rien dire
Face à la perte incontrôlable des centimètres, il peut paraître plus simple de rester muet et de s'en aller à la hâte, ses affaires roulées en boule sous le bras. Mais le silence et la fuite donnent l'impression que les choses sont trop graves pour être dites ou, au contraire, que la relation sexuelle n'avait aucune importance. #Goujat.
3 bons réflexes à adopter pour continuer
- Prendre les choses du bon côté
Plaisanter (sans aller jusqu'à improviser un One Man Show non plus) est un très bon moyen de dédramatiser la perte de l'érection. L'autre garçon est rassuré sur le fait qu'il n'est pas responsable de la situation et chacun se sent libre de faire une pause (boisson, discussion, film...) ou de continuer autrement.
- Changer les rôles
Chez les partenaires à la fois actifs et passifs, la solution la plus simple semble d'inverser les rôles quand l'actif a une fatigue passagère. Il faut quand même oser le proposer car c'est un virage à 180° dans les fantasmes associés à la relation sexuelle. Changer de rôle, ce peut être aussi, pour des gays qui ne sont pas auto-reverses, se plonger corps et âme dans un nouveau scénario, en changeant de lieu et d'attitude.
- Montrer ses autres compétences
Beaucoup de garçons, homos ou hétéros, ont tendance à oublier que la sexualité ne se résume pas à se servir de son pénis. Pourquoi ne pas entamer une nouvelle séquence torride, faite de plaisirs tactiles et de jeux de langue ? Explorer les autres zones érogènes du partenaire a l'avantage de ne pas lui couper son plaisir... et donne le temps au garçon qui a eu une faiblesse de récupérer ! Car la partie est loin d'être terminée...
Christophe Bougnot
En début ou en milieu de rapport sexuel, les manques de "rigidité" sont majoritairement dus à l'anxiété. « Les maladies, les médicaments, la dépression peuvent intervenir aussi et le médecin est toujours disponible pour en parler, rappelle le Dr Pierre Cahen, sexologue. Mais il suffit, en général, de savoir comment réagir pour régler le problème. » Nous vous y aidons.
3 attitudes à éviter au moment de débander
- Trop parler
Pour ne pas mettre en péril sa réputation de bon amant, le garçon "en panne" a tendance à vouloir se justifier dans un flot de paroles ininterrompu : "C'est la première fois que ça m'arrive, demande à mon ex si tu veux !", "J'ai pensé à ma grand-mère malade et ça m'a déconcentré", "C'est bizarre, d'habitude je peux tenir 4 heures !", etc. Mauvaise idée.
- Faire des reproches à l'autre
Atteints dans leur ego, certains garçons adressent des critiques cinglantes à leur partenaire. Ils lui reprochent d'être trop lent, "pas si beau, finalement", d'avoir un parfum incommodant ou encore un lit trop mou ! Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans sa bouche (ou dans celle de l'autre) avant de s'engager sur ce terrain...
- Fuir sans rien dire
Face à la perte incontrôlable des centimètres, il peut paraître plus simple de rester muet et de s'en aller à la hâte, ses affaires roulées en boule sous le bras. Mais le silence et la fuite donnent l'impression que les choses sont trop graves pour être dites ou, au contraire, que la relation sexuelle n'avait aucune importance. #Goujat.
3 bons réflexes à adopter pour continuer
- Prendre les choses du bon côté
Plaisanter (sans aller jusqu'à improviser un One Man Show non plus) est un très bon moyen de dédramatiser la perte de l'érection. L'autre garçon est rassuré sur le fait qu'il n'est pas responsable de la situation et chacun se sent libre de faire une pause (boisson, discussion, film...) ou de continuer autrement.
- Changer les rôles
Chez les partenaires à la fois actifs et passifs, la solution la plus simple semble d'inverser les rôles quand l'actif a une fatigue passagère. Il faut quand même oser le proposer car c'est un virage à 180° dans les fantasmes associés à la relation sexuelle. Changer de rôle, ce peut être aussi, pour des gays qui ne sont pas auto-reverses, se plonger corps et âme dans un nouveau scénario, en changeant de lieu et d'attitude.
- Montrer ses autres compétences
Beaucoup de garçons, homos ou hétéros, ont tendance à oublier que la sexualité ne se résume pas à se servir de son pénis. Pourquoi ne pas entamer une nouvelle séquence torride, faite de plaisirs tactiles et de jeux de langue ? Explorer les autres zones érogènes du partenaire a l'avantage de ne pas lui couper son plaisir... et donne le temps au garçon qui a eu une faiblesse de récupérer ! Car la partie est loin d'être terminée...
Christophe Bougnot
