En Italie, le Sénat a débuté hier, 28 janvier, les débats autour de l’union civile entre personnes du même-sexe. Les pour et les contre avaient, quant à eux, déjà commencé à faire entendre leurs voix la semaine dernière lors de manifestations dans plus de 90 villes du pays.
Ce texte de loi a été présenté par le premier ministre Matteo Renzi et son vote devrait intervenir mardi prochain.
L’Italie reste aujourd’hui l’un des derniers pays d’Europe occidental à ne pas avoir légalisé l’union civile pour les homosexuels.
Les opposants à cette loi, notamment un groupe prénommé « Family Day » (le Jour de la Famille), comptent manifester la semaine prochaine à Rome. D’autres opposants souhaitent aller encore plus loin. Un groupe de sénateurs a même proposé d’emprisonner les couples ayant eu recours à la GPA dans des pays étrangers.
Malgré la pression de l’église Catholique, qui pèse encore beaucoup sur les décisions politiques du pays, Matteo Renzi a déclaré que "nous discutons et nous écoutons, jusqu'à un certain point. Lorsqu'il y aura vote, chacun le fera en son âme et conscience", affichant à nouveau sa détermination pour que l'Italie se dote enfin d'une législation proche de celles adoptées dans la plupart des pays d'Europe occidentale.
Ce texte de loi a été présenté par le premier ministre Matteo Renzi et son vote devrait intervenir mardi prochain.
L’Italie reste aujourd’hui l’un des derniers pays d’Europe occidental à ne pas avoir légalisé l’union civile pour les homosexuels.
Les opposants à cette loi, notamment un groupe prénommé « Family Day » (le Jour de la Famille), comptent manifester la semaine prochaine à Rome. D’autres opposants souhaitent aller encore plus loin. Un groupe de sénateurs a même proposé d’emprisonner les couples ayant eu recours à la GPA dans des pays étrangers.
Malgré la pression de l’église Catholique, qui pèse encore beaucoup sur les décisions politiques du pays, Matteo Renzi a déclaré que "nous discutons et nous écoutons, jusqu'à un certain point. Lorsqu'il y aura vote, chacun le fera en son âme et conscience", affichant à nouveau sa détermination pour que l'Italie se dote enfin d'une législation proche de celles adoptées dans la plupart des pays d'Europe occidentale.