Avec un regard affranchi de toute idée reçue, À mon seul désir, film de Lucie Borleteau, réussit sa mission de déconstruire la vision socialement biaisée du monde du strip-tease et offre, en prime, une belle idylle lesbienne toute en fluidité. En salles ce mercredi 5 avril.
Pour beaucoup, les clubs de strip-tease s'apparentent à des lieux de débauche sordides où des hommes se rincent l'œil devant des femmes-objets au comble de leur sensualité. Avec son nouveau long-métrage, À mon seul désir, en salles ce mercredi 5 avril, Lucie Borleteau (Chanson Douce) a bon espoir de briser les idées reçues accolées à ces endroits, et à l'art qu'ils abritent. Un challenge pas évident qu'elle accomplit avec ce qu'il faut de féminisme et de queerness....