Les données publiées par l'hôpital Bichat à Paris confirment les indices selon lesquels la variole du singe (ou monkeypox), même si elle n'est pas à proprement parler une infection sexuellement transmissible, se comporte comme telle dans l'épidémie en cours parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH).
Trois mois après l'arrivée en France de la variole du singe (ou monkeypox), les connaissances sur le virus et ses modes de transmission s'affinent avec l'expérience. Alors que l'épidémie reste essentiellement cantonné aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), une étude réalisée à l'hôpital parisien Bichat affine le profil des personnes infectées. ...