"C'était mon rêve"
"C'était mon rêve de shooter les Dieux du Stade" confie le photographe, qui a exposé dans le pop-up store TÊTU, pendant la semaine des Fiertés. "Je les ai photographié comme si je faisais un livre. Nous étions une équipe réduite, c'était très intime. Rien n'était vraiment mis en scène. Cela m’a permis de faire des photos qui appartiennent à des instants." Dans les premières photos qu'il dévoile à TÊTU, les rugbymen sont autant des corps que des regards. "Il y a en eux une douceur de l'âme qui est sublime" analyse le photographe. Une douceur qui contraste avec l'épaisseur des corps et la brutalité parfois du jeu. Ce sont ces trois aspects, principalement, que l'on retrouve dans ces nouveaux clichés.
Et pour ceux qui se demandent si ce retour aux sources concernera aussi la nudité totale, souvent laissée de côté dans les dernières éditions suite aux critiques des amateurs de rugby, le photographe préfère rester flou... "Je ne sais pas quelles photos vous avez vues, mais je trouve que ça se mérite de voir le sexe de quelqu’un en photo ! Mais j'ai récupéré un slip, et je compte l'encadrer" s'amuse-t-il. Pour savoir si l'on reverra un full frontal à la manière du combattant de MMA Sylvain Potard dans l'édition de 2016, il faudra donc attendre la sortie du calendrier, le 3 octobre prochain.
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Le calendrier des Dieux du Stade 2020, 29 euros, sortie officielle le 3 octobre.