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Rémi a 33 ans et il vit avec le VIH depuis 10 ans. En novembre 2018, il est une nouvelle fois éconduit par un garçon à qui il annonce sa séropositivité. C'est la fois de trop : il décide de tenir un blog pour décrire la réalité du VIH en 2018 et balayer les idées reçues.
Il raconte notamment à TÊTU la violence que représente pour lui le mot « clean », utilisé sur les applications de rencontre pour connaître le statut sérologique des personnes avec qui l'on tchate. « C'est de la sérophobie pure », déplore Rémi.
« Je pense que les gens sont un peu restés bloqués sur l'image qu'avait le VIH dans les années 1990, résume-t-il. Clairement, c'était l'horreur ! Mais il ne faut pas garder que ça en tête. Depuis les choses ont évolué, la science a évolué... les mentalités un peu moins. »
REVOIR : Pour contrer la sérophobie, ils racontent leur vie avec le VIH