Brigitte Macron avait assigné il y a un an deux femmes accusées d'avoir propagé sur internet des infos grotesques prétendant que la Première dame était une femme trans. Une autre procédure judiciaire reste en cours.
La folle rumeur était allée jusqu'à lui trouver un deadname basé sur son nom de naissance, "Jean-Michel Trogneux". Il y a un an, Brigitte Macron assignait en justice deux femmes ayant propagé sur internet de fausses infos nourries de transphobie, prétendant qu'elle était une femme trans. Mais le tribunal a déclaré nulle cette assignation délivrée pour atteinte au respect de la vie privée et au droit à l'image, rapporte ce mercredi 8 mars l'AFP, qui a pu consulter la décision. Motif invoqué de l'annulation : le tribunal estime que les faits dénoncés par la Première dame auraient dû être qualifiés de diffamation publique....