[Interview à retrouver dans le magazine têtu· de l'été] Connu dans les sphères du cinéma expérimental, Manuel Abramovich, réalisateur argentin francophone établi à Berlin, travaille à s’affranchir de la séparation entre documentaire et fiction. Avec Pornomelancolia, en salles actuellement, il fait le portrait intime, à la fois drôle et tragique, du sex-influenceur mexicain Lalo Santos, entre servitude, affirmation et solitude.
Pourquoi avez-vous choisi, dès le départ, cette voie particulière entre fiction et documentaire ?...